L’accès à la nature pour tou·te·s

"Marcher provoque un état de conscience particulier comme un cheminement intérieur ; c’est être pleinement soi-même, de plain-pied dans son existence. Et non à côté de ses pompes" 

Je m’en allais dans les bois parce que je voulais prendre le temps de vivre, faire face seulement aux faits essentiels de la vie […] vivre assez vigoureusement et de façon spartiate pour mettre en déroute tout ce qui n’était pas la vie" 

« Comme les vents et les couchers de soleil, les choses sauvages étaient considérées comme acquises jusqu’à ce que le progrès commence à les éliminer. Maintenant, nous sommes confrontés à la question de savoir si un niveau de vie encore plus élevé vaut son coût en choses naturelles, sauvages et gratuites »

« Par crise de la sensibilité, nous entendons un appauvrissement de ce que nous pouvons sentir, percevoir, comprendre, et tisser comme relations à l’égard du vivant. […] Nous avons une multitude de mots, de types de relations, de types d’affects pour qualifier les relations entre humains, avec les artefacts ou avec les œuvres d’art, mais bien moins pour nos relations au vivant »

« Avant de t'indigner, rappelle-toi de quoi tu étais capable lorsque tu avais leur âge. »

« Le banian est un arbre dont les branches et les rameaux, en tombant à terre, se transforment en de nouvelles racines qui transforment les branches en nouveaux troncs… Symbole du cycle récursif propre à tant de processus complexes où les produits deviennent producteurs de ce qui les produit. »